10 excellentes raisons d’utiliser les huiles essentielles « antibiotiques »
Si l’on compare les médicaments antibiotiques aux huiles essentielles, quelques différences majeures expliquent l’intérêt de ces dernières.
- Les huiles essentielles ne provoquent pas d’antibiorésistance. Les antibiotiques ne sont plus aussi efficaces qu’avant ; Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), certains de nos antibiotiques ne le seront plus du tout d’ici 10 à 20 ans. A force de les employer pour un oui, pour un non, ou encore parce que nous les avons mal utilisés (notamment en stoppant trop tôt le traitement), ils sont devenus inactifs sur de nombreux germes qui se sont « habitués » et modifiés en conséquence. Il faut alors augmenter de plus en plus les doses pour obtenir un résultat. C’est ce qu’on appelle la résistance aux antibiotiques. Au contraire, l’efficacité des huiles essentielles ne faiblit pas au fur et à mesure de leur utilisation, et il n’y a pas besoin de multiplier les doses pour guérir. L’extrême variété de leurs composants empêche les microbes d’organiser leur résistance. Surtout lorsqu’elles sont associées entre elles. Non seulement elles renforcent alors leur pouvoir d’action, mais en outre elle « brouillent » encore davantage les pistes pour les bactéries qui ne peuvent pas s’y habituer.
- La majorité des huiles essentielles antibiotiques sont également antivirales. Or, on sait que dans 8 cas sur 10, les malades ORL sont dues à des virus ! Hélas, les antibiotiques sont encore souvent prescrits abusivement dans ce cas, alors qu’ils sont totalement inutiles contre le virus. En revanche, les huiles essentielles vont lutter contre les virus ET leur action antibiotique préventive pourra empêcher les surinfections. Par exemple, en traitant la grippe ou le rhume (deux maladies virales), on évite qu’ils dégénèrent en bronchite ou en sinusite (deux maladies bactériennes).
- Les médicaments antibiotiques empêchent les germes de se reproduire et de survivre en bloquant leurs fonctions de base (organiques et métaboliques). Les huiles essentielles agissent de même, mais modifient aussi « l’environnement » qu’elles rendent impropre à la vie de ces germes.
- Les huiles essentielles sont efficaces par voie orale à des concentrations dans le sang cinquante fois moindres que celles des antibiotiques !
- Les huiles essentielles stoppent la prolifération des germes nocifs tout en ayant une influence positive sur la réponse immunitaire et le terrain, afin d’éviter que la maladie ne récidive. Ce qui n’est pas le cas des médicaments antibiotiques classiques, qui, tels des bazookas, détruisent massivement les bonnes comme les mauvaises bactéries, mais ne s’intéressent absolument pas à de nouvelles invasions potentilles. D’où les traitements répétés, notamment pour des troubles ORL chez les enfants (otites, sinusites, pharyngites,)
- Selon le contexte, l’aromathérapie peut être employée à la place de médicaments antibiotiques. C’est le cas pour la majorité des maladies respiratoires de l’hiver. Les huiles essentielles permettent de se soigner vite, bien, très efficacement, sans avoir recours systématiquement aux antibiotiques (effets secondaires, résistance).
- L’aromathérapie peut également être utilisée en complément d’un antibiotique classique, afin de renforcer ses effets et d’obtenir des résultats plus rapides et durables.
- L’aromathérapie est tout aussi précise que l’antibiothérapie. Pour analyser l’impact d’un médicament antibiotique sur des microbes, les médecins utilisent un antibiogramme. C’est-à-dire qu’ils prélèvent les germes sur la personne malade et regardent en laboratoire quel antibiotique les combat le plus efficacement. En fonction des résultats, le patient reçoit en prescription le médicament s’étant montré le plus utile. L’aromatogramme suit exactement le même principe, sauf que les huiles essentielles remplacent les antibiotiques : on observe dans la boîte de Pétri l’activité de telle ou telle huile essentielle sur le germe pathogène pour quantifier leur pouvoir antibactérien. Par exemple, celles de thym, de cannelle de Ceylan ou de girofle sont fortement antiseptiques, celles de pin, d’eucalyptus et de lavande le sont moyennement. Etant donné la recrudescence des résistances aux antibiotiques, et sachant que les huiles essentielles ne présentent pas cet inconvénient, l’aromatogramme a un très bel avenir devant lui !
- Une huile essentielle « antibiotique » détruit un nombre très élevé de bactéries différentes, alors qu’un médicament antibiotiques classique n’agit que sur quelques germes.
- Les huiles essentielles vaporisées ou diffusées désinfectent une pièce en moins de 10 minutes: adieu germes, virus, bactéries nocives ! Un « plus » particulièrement appréciable dans un bureau en hiver, ou à la maison, pour éviter de vivre dans un réservoir à microbes.
Source : "Ma bible des Huiles Essentielles" de Danièle Fe